
I.C.S. iNCUBATEUR DE CHANGEMENTS ET SOLUTION

NOTRE PROBLEME...
...CE SONT VOS SOLUTIONS !
CONCEPTS
Il devient indispensable que l'humanité formule un nouveau mode de pensée
si elle veut survivre et atteindre un plan plus élevé.

Albert Einstein, 1934
Ben, il serait peut-être temps de s'y mettre..... non ?
I EN DEUX MOTS :
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Ce que vous nommez "problème", n'est -toujours !- qu'un symptôme.
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Symptôme que quelque chose et/ou quelqu’un « tourne en rond ».
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Nous voyons « comment » ça tourne en rond.
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Pas à cause de qui !
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On n’essaye PAS de résoudre le problème-symptôme (qui n’est l’arbre qui cache la forêt).
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Nous cherchons -et trouvons- ensemble à
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voir à quoi "sert" le problème cité
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placer la personne ou le groupe vers une autre contexte relationnel
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avoir une tout autre vision des choses
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introduire un autre -et efficace- mode relationnel
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émerger d’un autre but (autre car c’est le précédent -invisible pour la personne- qui générait difficultés et/ou souffrances)
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II NOTRE POSITION
« Ce n’est pas parce que la société ne porte plus, ou mal, ses membres qu’ils ont besoin d’une psychothérapie ».
Notre base opérationnelle, c’est la Psychologie du Travail. Nous ne sommes -ni ne voulons être- Psychologue clinicien, qui travaille sur les fondements de votre personne, frisant ou plongeant pour certains, dans ce qui est appelé « l’inconscient ». Pour citer Erikson, un des fondateurs du M.R.I., "la meilleure chose que l'inconscient a à faire, c'est de le rester, inconscient".
À travers nos compétences de Psychologue du travail, de Formateur, de Médiateur et de Consultant, nous aidons des personnes, des groupes, des organisation avec une question :
"c'est quoi dans tout ça qui tourne en rond et qui pose problème aux personnes, structures "...
On appelle ça aussi : "réduire la complexité à des éléments simples".
Notre particularité est que nous traitons TOUTE SITUATION INSATISFAISANTE sous l'angle de la COMPÉTENCE :
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COMPÉTENCES à faire un deuil, à DÉPASSER ses propres mal-être, le harcèlement, les RPS, le chômage, mais aussi les conflits (nos actions en Médiation) à ouvrir les relationnels (à soi-même, aux collègues, hiérarchiques), à se positionner clairement au travail ...
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COMPÉTENCES aussi à SE DÉVELOPPER en allant plus loin "vers et par soi-même", en se lançant à travers des Ateliers, des Groupes d'Expression ou d'Analyse de Pratiques Professionnelles ...
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COMPÉTENCES enfin à VOIR AUTREMENT et savoir AGIR EFFICACEMENT sur les organisations : entreprises, associations, regroupements collectifs, publiques, privés ...
Alors, oui :
Nous travaillons
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les doutes, questionnements, hésitations, deuils, erreurs ...
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performance, problème d'équipe ..
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ou encore réorganisation ...
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à titre individuels ou collectifs,
en remplaçant des "POURQUOI" insondables par des "COMMENT" efficaces.
Par exemple, nous ne cherchons pas à savoir "pourquoi" ces personnes sont en conflits lors de médiation.
Mais "comment" :
1) comment elles (se) répètent la même histoire ?
2) comment leur permettre de voir, penser, agir autrement...
III NOS BASES CONCEPTUELLES
La base de nos travaux, et les méthodes et outils qui en ont émergé, appartiennent au STRUCTURALISME.
Sous-classe, pourrait-on dire « APPROCHE SYSTÉMIQUE ».
Sous-sous classe « ÉCOLE DE PALO ALTO » (Californie, USA, dans le coin qu’ils s’amusent dans les garages à inventer Apple et autres Microsoft ... doit-y avoir un nid là-bas), dont le M.R.I. (Mental Research Institut) en est le symbole concret.
Ces travaux sont connus, reconnus et validés. Ils ont eu une influence majeure sur la thérapie et interventions brèves, la communication organisationnelle et la résolution de conflits. Leurs techniques visent à modifier les schémas de communication dysfonctionnels et à favoriser des interactions plus constructives.
Leur inconvénient majeur est qu'ils se heurtent à une habitude culturelle, en fait contre-productive, de chercher des causes (pourquoi....). Totalement valable dans le non-vivant, elles sont destructrices dans le "vivant-intelligent". La situation de l'Économique, le Relationnel, et l'Environnement en sont la preuve (vite, très vite décimée par de nouveaux et incessants "pourquoi" et leurs corolaires "c'est à cause de" et "le problème c'est que...".
Il a fallu du temps pour que le soleil ne tourne plus autour de la Terre.... Mais... avons-nous encore le temps ?
Un des pionniers, Paul Watzlawick (1921-2007) à Palo Alto est un psychologue, psychothérapeute, et sociologue américain (Merci Wiki). Son livre "Changements, Paradoxes et psychothérapie" est une de nos bases.
Elle se croisent avec les travaux de Steve de Shazer sur les Interventions Orientées Solutions.
Elles se complètent avec nos propres recherches, travaux, expérimentations et mise en œuvre.
1) Le Structuralisme
Courant de pensée, visant à privilégier :
La synchronicité des faits plutôt que leur évolution : qu'est ce qui se passe, ici et maintenant et quelle pièce se rejoue en permanence ?
Les relations qui unissent ces faits plutôt que les faits eux-mêmes : quels acteurs font quoi avec qui ?
On peut le dire d'une façon plus prosaïque :
"qu'est-ce qui se tricote - ici et maintenant ! - et qui se répète sans cesse entre qui et qui ?
Ce « tricotage » est ce qui fait lien entre les personnes, groupes, même (et cela peut surprendre) lorsque cela est difficile, fait souffrir ou est destructeur. Désolé, nous sommes dans les Sciences Humaines. Oui, ce phénomène est démontré, habituel bien que choquant nos visions. Dit d’une façon plus directe, ce qui relie les gens, les groupes 1) crée leur identité et 2) par voie de conséquence, est plus important que le résultat. Conséquence : les personnes, groupes préfèrent se chamailler (ou plus) que se séparer ou réussir.
Au moins, tant qu’ils n’ont pas fait le deuil de quelque chose.
Ce que nous aidons à faire avec nos ateliers comme par exemple « Deuils et rupture » ou « P.M.E. ». Mais d’une façon directe ou indirecte, tous nos ateliers gravitent autour de cette notion, besoin de « quitter pour avancer. »
2) La Réalité
En deçà (et ce mot à toute son importance) de ce que nous voyons, c’est la structure des choses qui joue et entraine les faits en leur donnant sens. Sans connaitre cette structure, les actions -QUELLES QU'ELLES SOIENT- sont "Don Quichottesques" : on se bat contre des ombres. Pas sur ce qu’il y a.
Pour imager la structuration, prenons l’iceberg.
La partie visible (1/10) n’est que très peu par rapport à l’invisible (9/10)
On peut croire, car on le ressent, on voit ses traces et ses conséquences..., que c’est le vent qui dirige l’iceberg. Perdu.
Le Réel, invisible et inconnaissable (sauf à avoir la compétence spécifique), montre que c’est le courant qui dirige l’iceberg. C’est la connaissance de ces courants qui pourra générer des actions (le navire va éviter -ou pas- l'iceberg en connaissant -et utilisant !- le courant, pas le vent….). Seuls les marins, et expérimentés, connaissent les courants. Et la façon de les utiliser pour avancer.
IV CONCLUSIONS
Premier niveau :
Un tout premier niveau de lecture se trouve dans les points suivants :
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Nos modes de résolution de problèmes jouent contre nous. Ce qui n'est pas nouveau, mais ... "l'œuf est plein".
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À notre insu, dans la globalité, ils détruisent et nous détruisent.
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Un autre mode de SOLUTIONNER est disponible.
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Il est urgent de passer à un registre autre et supérieur, tout comme il a été décisif de passer de l’addition (compétence de niveau « homme préhistorique » qui voyait bien que 3 cailloux + 3 cailloux = 6 cailloux), à la multiplication (2 fois 3 cailloux, en font 6), montrant la compétence à l'abstraction.
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Mais, le « cérébral » éprouve le désir de connaître ce qui se trouve en dehors de ce qui est intelligible. Il génère fantasmes, illusions et fausses vérités.
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C’est pourquoi nous avons besoin d'une discipline pour contenir ses propres débordements et éviter ces illusions.
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Il nous est impératif de dépasser la frontière que nous nous sommes créée : ce que nous avons rendu intelligible de par notre propre niveau d'intelligibilité, et qui, certes a permis le développement, mais qui, aujourd’hui, nous y maintient, nous y contient, restreint.
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Ce « dépasser », à ce niveau, se nomme « muter ».
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Nous n’avons pas, plus de temps.
D’une façon plus prosaïque, nous avons besoin d’urgence d’un « déambulateur » pour nous aider à sortir de notre propre (et mauvaise aujourd’hui) façon de marcher.
Les concepts, méthodes, outils que nous utilisons sont ce « déambulateur ».
Second niveau :
À travers nos « écrits/livres ©»,
disponibles ICI :
"Comment les écologistes, mais pas que, ont -presque- détruit la planète et contribué au terrorisme".
Derrière le titre, volontairement provocateur, l'écrit montre comment, malgré les bonnes volontés et actions engagées, quelles qu'elles soient, celles-ci ont participé, participent à la descente globale.
Ce "livre-document" présenté sans prétention littéraire, un peu comme un roman/thriller, pose les bases de notre travail et, surtout les solutions, leurs fondations et, peut-être surtout, les résultats qui en émergent.
Et ICI : Ce second document est la version courte, directe des bases. Plus légère, mais elle ne donne pas le cheminement de pensée qui a permis à notre "détective" du roman/thriller d'arriver à ses conclusions.
À noter que ces écrits sont à prendre pour ce qu'ils sont : une base de travail, de réflexions, d'outils...
Toutes les critiques constructives (c'est à dire qui ne commencent pas par "c'est totalement faux" ou bien "c'est à cause de", "c'est la faute à"...ou qui ne seraient que de l'intellectualisme... ) sont bienvenues.
Après... libre à chacun(e) de continuer à rester dans le même paradigme (additionner des cailloux, ne pas faire des deuils.. et crier au "grand soir"...